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Comparaison des performances boursières des sociétés remplissant les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) à celles qui ne les satisfont pas (non-ESG) selon la « formule magique »

Depuis l'émergence des « Fintech », l'accès à la bourse est disponible à chacun.  Les investisseurs institutionnels ou privés ne veulent plus autant investir dans les industries pétrolières, minières, etc. Ils effectuent plutôt des investissements durables qui vont dans le sens de la problématique environnementale actuelle.

Cette tendance a créé une croissance non négligeable sur une classe d'actifs financiers, il s'agit des actifs remplissant les conditions environnementales, sociales et de gouvernance. Cette classe appelée « ESG » laisse penser qu'une société respectant un critère écologique est « green », ou en français « verte ». Nous pouvons nous demander si ces sociétés sont réellement « green » ? Il peut être compliqué pour un investisseur de ne pas se perdre dans cette multitude de titres. De plus, ces entreprises offrent-elles une rentabilité plus importante que les autres ?

Ce travail est confié par une société anonyme lausannoise, active dans le domaine de gestion de fortune privée. Le but de celui-ci est de déterminer s'il vaut mieux investir dans des entreprises respectant les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance ou dans celles qui ne les remplissent pas. Ceci a été établi grâce à la « formule magique » de Joël Greenblatt. Dans le but d'optimiser l'utilisation de celle-ci, un programme a été créé.